Ce lieudit a la particularité de porter de l'herbe mêlée de roseaux.
Cette herbe courte et très flexible se couche devant la faux et cette dernière doit être "battue"  très fine pour "mordre" cette herbe.

Par contre, la tige du roseau est dure et le "taillant" fin de la faux se casse sur le roseau.
Faucher ces parcelles à la faux, le seul moyen connu avant l'arrivée des engins mécaniques,   était un travail extrêmement dur, une corvée redoutée, même par les plus forts faucheurs.
Le taillant de la faux battue mince, se cassait sur les roseaux et la faux battue plus épaisse,        ne coupait pas l'herbe.

Le fauchage de ces prés, c'était … "l'Enfer".